Jeudi Soir, Passez à GO et Réclamez Votre Paye
Les jeudis de Montréal sont légendaires.
Règle générale, sauf pour les weirdos, c'est jour de paie, ce qui signifie la plupart du temps un 5 @ 7 ou une soirée dans un club, ou les deux, mais au moins une bonne cuite, peu importe son cadre. Les amateurs de BPM ont tous leurs petits secrets, qu'ils partagent volontiers avec leur entourage, et dans les quartiers où il y a plus de club que de dépanneurs, une "guerre" a lieu. Les clubs cherchent à s'arracher la clientèle du jeudi, pas aussi nombreuse que celle du week-end, mais plus convoitée, car mieux éduquée et surtout, davantage disposée à investir une bonne part de ses revenus en boissons frelatées.
Règle générale, sauf pour les weirdos, c'est jour de paie, ce qui signifie la plupart du temps un 5 @ 7 ou une soirée dans un club, ou les deux, mais au moins une bonne cuite, peu importe son cadre. Les amateurs de BPM ont tous leurs petits secrets, qu'ils partagent volontiers avec leur entourage, et dans les quartiers où il y a plus de club que de dépanneurs, une "guerre" a lieu. Les clubs cherchent à s'arracher la clientèle du jeudi, pas aussi nombreuse que celle du week-end, mais plus convoitée, car mieux éduquée et surtout, davantage disposée à investir une bonne part de ses revenus en boissons frelatées.
Les bookers & promoteurs rivalisent donc du mieux qu'ils peuvent pour raffiner leur programmation et attirer les saoulards dans leur antre; on ne dira par exemple jamais assez de bien de la soirée Overdose du Parking, qui obtient notre vote avec une formule somme toute assez simple : le meilleur électro en ville, un prix d'entrée raisonnable, et des drinks à 2.75$ !!
Dans de telles conditions, on pourrait s'attendre à ce que l'endroit soit envahi par la fange de la population et à ce que la crowd soit épouvantablement infréquentable... mais non ! C'est dans le Village, et ce simple fait agit comme un "filtre à cons" : "Y'a des feufis, faque j'y vâs pas". Cela dit, tout filet n'est pas impénétrable, et on y croise quand même quelques connards de temps à autres.
Peu importe votre choix de repère jeudinal, cependant, vous devez admettre que les gens qui aiment sortir pour les bonnes raisons - musique, ambiance et camaraderie alcoolisée - le font généralement la semaine. Saturday Night Fever, c'est pour les bureaucrates !
*
ROBEAT est un crew fort mystérieux sévissant en ville depuis un certain temps déjà. Formé de deux DJ's sans nom (concept ?) et de VJ Akolad, leurs événements sont généralement mensuels et baignent dans un slogan qui les décrit admirablement bien : dark discothèque !
Leur sélection musicale est "éclectique" dans les limites de leur mandat; italo-disco, électro-house, EBM, new beat, techno... Ils ont eu une résidence au Mile End, un temps, et sont maintenant invités du happy hour Robothèque, ce soir à la S.A.T., aux côtés de Jan Pienkowski et Cyan. C'est toujours gratuit et c'est relax et tôt : de 19h à minuit, imbibez-vous correctement pour vous présenter ensuite aux portes de votre club favori complètement saoul.
*
Ce samedi 4 mars, le Sommet, dont j'ai parlé rapidement la semaine dernière, ouvre ses portes avec, selon la publicité pleine page parue dans le Mirror - assez étrangement en plein coeur de la section cinéma - leur "normal lineup": Fred Miller et Deep J Max.
Deep J Max est réputé pour son "groovy, pumping house", et je me suis toujours demandé ce que cette étiquette signifait. Si vous êtes courageux et voulez vous sacrifier comme éclaireur, il nous fera un immense plaisir, ici à Mirror Balls & Mirror Shades, de publier vos premières impressions, ce qui fera de vous un(e) pionnier de la scène... du Village ?!
Dans de telles conditions, on pourrait s'attendre à ce que l'endroit soit envahi par la fange de la population et à ce que la crowd soit épouvantablement infréquentable... mais non ! C'est dans le Village, et ce simple fait agit comme un "filtre à cons" : "Y'a des feufis, faque j'y vâs pas". Cela dit, tout filet n'est pas impénétrable, et on y croise quand même quelques connards de temps à autres.
Peu importe votre choix de repère jeudinal, cependant, vous devez admettre que les gens qui aiment sortir pour les bonnes raisons - musique, ambiance et camaraderie alcoolisée - le font généralement la semaine. Saturday Night Fever, c'est pour les bureaucrates !
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ROBEAT est un crew fort mystérieux sévissant en ville depuis un certain temps déjà. Formé de deux DJ's sans nom (concept ?) et de VJ Akolad, leurs événements sont généralement mensuels et baignent dans un slogan qui les décrit admirablement bien : dark discothèque !
Leur sélection musicale est "éclectique" dans les limites de leur mandat; italo-disco, électro-house, EBM, new beat, techno... Ils ont eu une résidence au Mile End, un temps, et sont maintenant invités du happy hour Robothèque, ce soir à la S.A.T., aux côtés de Jan Pienkowski et Cyan. C'est toujours gratuit et c'est relax et tôt : de 19h à minuit, imbibez-vous correctement pour vous présenter ensuite aux portes de votre club favori complètement saoul.
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Ce samedi 4 mars, le Sommet, dont j'ai parlé rapidement la semaine dernière, ouvre ses portes avec, selon la publicité pleine page parue dans le Mirror - assez étrangement en plein coeur de la section cinéma - leur "normal lineup": Fred Miller et Deep J Max.
Deep J Max est réputé pour son "groovy, pumping house", et je me suis toujours demandé ce que cette étiquette signifait. Si vous êtes courageux et voulez vous sacrifier comme éclaireur, il nous fera un immense plaisir, ici à Mirror Balls & Mirror Shades, de publier vos premières impressions, ce qui fera de vous un(e) pionnier de la scène... du Village ?!
Robots love Robeat's Dark Discothèque.
1 Comments:
La rubrique mensuelle de 'DeepSound by DeepJ Max' sur http://edmm.ca est habituellement fort intéressante. Check it out.
Les préjugés? Leave them at the door or stay home.
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